Archives mensuelles : juillet 2012

Jean Breton, souvenirs 1964 – 2019

En avril 1966, je reviens de Montréal à bord du Voyageur no. 2200, un GMC – PD-4107 – 1966; c’est mon premier voyage avec ce nouveau modèle d’autobus surnommé « chameau » pour les amateurs d’autobus.
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En juin 1967, j’achète ma première automobile et me rend visiter l’Expo-67 à plusieurs occasions, de mai à octobre. Je stationne à l’Ile Charron, et, je prends les TDM-4515 et TDM-5108 de la Métropolitain-Sud pour me rendre à La Ronde. Le coût du stationnement inclut le billet aller-retour. Les autobus font la navette du matin au soir sans horaire, c’est-à-dire qu’ils partent dès qu’ils sont pleins. Je me souviens d’une journée de juillet lorsqu’il y a eu plus de 330,000 visiteurs à l’expo-67…les autobus s’avançaient à l’arrêt et se remplissaient par groupe de cinq ; il y avait un départ presque à chaque minute. Au retour, les autobus vides formaient un long convoi vers l’Ile Charron.
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En juin 1968, avec un ami, je descends en auto à Boston pour assister à l’assemblée annuelle de la Bus History Association; le vendredi, nous visitons les compagnies d’autobus à bord d’un GMC PD-4106 mis gracieusement à notre disposition par Michaud Bus Lines, de Salem, Mass. et, le samedi, n’étant que 6 visiteurs, la compagnie nous a véhiculés à l’aide d’une familiale ayant une capacité de 9 passagers.

En visitant la MBTA, nous avons appris qu’il y avait un policier dans chaque autobus de quelques parcours à partir de 19h00 pour essayer de diminuer les attentats contre la clientèle! Nous avons quitté Boston vers 22h00, samedi soir, et, vers 3h00, nous avons frappé un chevreuil sur la route 201 entre 2 villages. Deux bons samaritains, qui nous suivaient, nous ont emmenés à Jackman; après déjeuner, nous sommes partis à bord du remorqueur chercher l’auto, et, après la réparation du radiateur défoncé par les pattes de l’animal, nous sommes partis, après diner, pour Québec.
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En octobre 1974, un groupe d’amateurs d’autobus de Montréal organise une visite des usines de « Prévost Car Inc », à Ste-Claire. Ils ont loué le Murray Hill, no 728, un Prévost – Prestige – 1972; j’ai fait le voyage avec eux, de Québec à Ste-Claire, aller-retour.
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Le 10 mars 1978, de Québec à Montréal avec Voyageur – 1335, un MCI – MC-8 – 1975 de 6h00 à 9h00.
Le 10 mars 1978, de Montréal à Québec avec Voyageur – 2820 – un MCI – MC-7 – 1973 de 15h00 à 18h00.
Le 22 mars 1978, de Québec à Montréal avec Voyageur – 1432 – un MCI – MC-8 – 1976 de 6h00 à 9h00.
Le 22 mars 1978, de Montréal à Québec avec Voyageur – 1340 – un MCI – MC-8 – 1975 de 15h00 à 17h30.

Le 17 avril 1978, je débute un nouvel emploi qui va m’obliger à voyager partout au Québec; bien que j’aie une auto fournie par mon employeur, je vais utiliser souvent les transports collectifs pour des rendez-vous dans le centre-ville de Montréal.

Le 29 avril 1978, de Montréal à Québec avec Voyageur – 1027 – un MCI- MC-7 – 1973 de 18h00 à 20h30.

Le 11 mai 1978, de Québec à Montréal avec Voyageur – 1431 – un MCI- Mc-8 – 1976 de 7h00 à 9h30.

Le 15 juin 1978, de Québec à Montréal avec Le Grand Express – 003 – un Prévost – LeMirage – 1978 de 6h30 à 9h30.
Le 15 juin 1978, de Montréal à Québec avec Le Grand Express – 003 – de 18h15 à 21h15 .

Le 19 juin 1978, de Québec à Montréal avec Le Grand Express – 002 de 6h30 à 9h30.

En août 1978, de Québec à Montréal avec le no. 003 en partant du terminus de Ste-Foy situé à la Place Laurier, de 6h30 à 9h30.
En août 1978, de Montréal à Québec avec le no. 003, de 20h15 à 23h15.

Lorsque je ne peux revenir de Montréal avec Le Grand Express, n’ayant pu obtenir un siège réservé, je laisse mon auto à Ste-Foy et reviens par Via Rail qui me laisse à la Gare de Ste-Foy. De là, je prends la navette de la CTCUQ qui m’emmène à Place Laurier.

Le 28 septembre 1978, de Québec à Montréal avec le 004, de 7h10 à 9h10 en partant de Ste-Foy.
Le 28 septembre 1978, de Montréal à Québec avec le 003, de 20h25 à 23h25.

En novembre 1978, un aller-retour de Québec à Montréal avec le 001

Tous les départs et arrivées se font de l’Hôtel Hyatt Regency, près du Parc Victoria, à Montréal en passant par le Terminus Voyageur.

Le principal avantage du Grand Express comprend le service du déjeuner et du souper durant le trajet; nous sauvons du temps, pas besoin de manger avant ou après le voyage. Il y a aussi une rangée de sièges simples, ce qui procure plus de confort lorsque nous voyageons seul. La location d’un écouteur nous permet d’écouter quatre canaux de musique enregistrée et un canal pour Radio-Canada en direct. Par contre, la réservation étant nécessaire, il n’y a pas toujours de place libre.
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6 août 1979 – Québec à Montréal – 002 – Grand Express de 6h30 à 9h30.
6 août 1979 – Montréal à Québec – 002 – Grand Express de 18h15 à 21h15

15 octobre 1979 – Montréal à Québec – 002 – Grand Express de 18h15 à 21h15.

23 octobre 1979 – Québec à Montréal – 2319 – PD-4107 – 1967 de 8h00 à 10h30.
23 octobre 1979 – Montréal à Québec – 002 – Grand Express de 18h15 à 21h15.

Je suis toujours épaté de voir l’hôtesse réussir à servir les repas dans les cabarets sans perdre l’équilibre. Par contre, je remarque que certains chauffeurs semblent oublier sa présence en conduisant plus brusquement.
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Vendredi, le 25 janvier 1980, je prends l’avion de QuébecAir pour  Mirabel. A 20h45, je monte à bord d’un 747 d’Air Canada en route pour Paris afin de faire un stage qui va durer un mois. Arrivé à 9h30, à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, le samedi matin, je prend un autobus Neoplan qui me conduit au centre-ville de Paris.

Dimanche matin, le 27 janvier 1980, j’aperçois un autocar anglais lettré  » London-Paris Coach Lines » stationné près de la Gare St-Lazare ou je me rends prendre un train de banlieue  pour aller visiter le Château de Versailles; avant de monter à bord, j’apprends qu’il faut faire « composter » le « ticket » dans une machine située sur le quai. Le service est aux 20 minutes pour une distance de 30 kilomètres.

Lundi soir, le 28 janvier, je prends l’autobus du parcours 27 au terminus ouest en face de la Gare St-Lazare. Sur le trottoir, il y a une distributrice de billets; le chauffeur ne s’occupe pas du paiement. C’est un autobus de la RATP , no 8104,  un Saviem – SC-10-U dont le moteur se trouve sous le siège du chauffeur. Bonne suspension, moteur silencieux, décor intérieur agréable, et, semble assez récent. Une pancarte accrochée au plafond affiche le parcours complet en indiquant les 3 zones de tarif qui correspondent environ à 7 arrêts d’autobus chacune. En montant, il faut faire « oblitérer » le nombre de « tickets » requis, selon la distance prévue, dans l’horodateur sis en arrière du chauffeur car, c’est le système « à l’honneur ». Si l’inspecteur passe et que vous n’avez pas respecté le règlement, vous hériterez d’un « P.V. » (procès-verbal) assez dispendieux.

Au retour de l’Ile Notre-Dame, pendant que j’attends à l’arrêt, l’autobus arrive, le chauffeur me regarde et continue sans arrêter… Je regarde l’arrêt : il est mentionné  » Faire signe au machiniste ».
Je viens donc d’apprendre que le chauffeur est un machiniste, et, qu’il arrête seulement sur demande. Ensuite, l’horaire m’indique que c’était le dernier passage ( 19h30 ) pour ce soir !!!… Heureusement, il me reste le parcours 24, quelques coins de rues plus loin. L’autobus 6044, même modèle, me ramène à la Gare St-Lazare, à un coin de rue de mon hôtel. Les parcours sont numérotés de 20 à 99 dont chaque dizaine représente un quartier différent.

Mercredi matin, le 30 janvier 1980, il pleut ; je prends donc l’autobus no 7335, même modèle, du parcours 94 à la Place de la Concorde ( j’ai changé d’hôtel ) pour me rendre au bureau sur le boul. de Courcelles. La distance comprend 7 arrêts tous dans la même zone donc, un seul « ticket » est requis. Vers 18h00, en sortant du bureau, je prends le 4907 du parcours 30 pour me rendre à Montmartre. Le retour à l’hôtel se fera à pied.

Samedi, le 2 février 1980, je fais une visite touristique de Paris avec un vieil autobus à deux étages opéré par la compagnie  » Cityrama « . Il pleut sans cesse, je suis assis en haut en avant et il n’y a pas d’essuie-vitres alors, impossible de prendre des photos !… Les informations pré-enregistrées sont données par un écouteur qu’il faut placer sur une oreille…lorsque l’autobus est retardé par la circulation, les informations continuent et ça donne des résultats cocasses !!!…

Dimanche, le 3 février 1980, j’utilise le métro pour me rendre à la Gare Montparnasse prendre le train de la SNCF, destination Chartres, située dans la Beauce. Le voyage dure 1h30 à bord d’un train local dont les arrêts sont fréquents. Au retour, le train est rempli comme une rame de métro…je dois rester debout et, en arrivant à Montparnasse, il faut pousser la foule pour trouver  le tapis roulant conduisant au métro car, il y a 25 trains qui arrivent en même temps puisque c’est la fin du congé d’hiver pour la première moitié de la population. Paraît-il que c’est la plus grande
gare de train d’Europe.

Mardi, le 5 février, je me rends au bureau en prenant le 7335 ( un Saviem de 42 sièges), parcours 94 – Malsherbes. Je m’assois sur le premier siège et en arrivant à l’arrêt, je me rends dans la porte d’en avant…la porte ne s’ouvre pas…je regarde le machiniste, et, celui-ci m’informe que la descente doit se faire par la porte arrière ( il n’y a que 3 passagers dans l’autobus et personne à l’arrêt)…j’insiste…il  ajoute « Les règlements sont faits pour être suivis »…Je suis donc descendu par l’arrière !!! Le soir, je suis revenu avec le 7667, même modèle et même parcours, en descendant par la porte arrière…

Mercredi, le 6 février, c’est le 7229 pour aller et le 7223 pour le retour ; même modèle et même parcours.

Jeudi, le 7 février, encore le 7723 pour aller.

Vendredi, le 8 février, encore le 7723 pour aller.

Samedi, le 9 février, je pars en excursion de fin-de-semaine dans la Vallée de la Loire en passant par le Mont-St-Michel.
« Les Cars Lecaplain » nous emmènent dans un Neoplan de 30 pieds environ. Pas d’air climatisé, pas de fenêtres teintées et pas de toilette.
Cependant, il y a une grande fenêtre à l’arrière et une porte située à l’arrière de la roue arrière. Je choisis le dernier siège à droite et, en passant mes pieds sous la rampe, j’ai ceux-ci pendant au-dessus des marches menant à la porte, ce qui me laisse beaucoup de place pour bouger les jambes!!!…

Dimanche, le 10 février, après le dîner, nous changeons de car pour terminer le voyage. En effet, lors du départ de la veille, il y avait deux cars : un pour la visite de deux jours et l’autre pour 3 jours. Les visiteurs de 3 jours étant moins nombreux,  prennent le nôtre pour continuer, et, nous héritons de leur Neoplan d’environ 42 pieds ( 59 sièges ) pour continuer notre visite. Ce car a les même caractéristiques que le précédant. Je ne suis pas assis à l’arrière mais, grâce aux grandes fenêtres non teintées, il est facile de prendre des photos. Quelle bonne idée de fabriquer des autocars à deux portes, surtout ceux de cette longueur… Les nombreuses visites effectuées au cours de la journée se font beaucoup plus rapidement par l’utilisation des 2 portes pour monter et descendre. Après avoir quitté le château de Chambord, nous prenons l’autoroute pour le retour à Paris. Le chauffeur conduit d’une façon extrêmement déplaisante…il accélère pour prendre sa vitesse de croisière puis, se laisse aller, et, recommence ainsi jusqu’à notre arrivée à Paris…2 heures plus tard !

Lundi, le 11 février, je me rends au bureau avec le 7333, parcours 94. Le soir, je prends le 2808, parcours 29, un Chausson d’environ 30 pieds pour me rendre dans l’est à la Place de la Bastille.
Par coincidence, le retour se fait avec le même autobus.

Mardi, le 12 février, le 7323, parcours 94 me conduit au bureau alors que, le soir, le 8086, parcours 26 me permet de me rendre visiter, dans l’est, le cimetière du Père Lachaise. Je suis revenu par le Métro.

Mercredi, le 13 février, le 7337, parcours 94 me laisse au bureau.

Jeudi, le 14 février, c’est le 7320, parcours 94 qui fait de même alors que, le soir, je prends le 7335, parcours 94 pour me rendre à la tour Montparnasse. Le retour se fait avec le 7328, parcours 94.

Vendredi, le 15 février, le 7328, parcours 94 pour aller au bureau. Le soir, je prends le métro pour me rendre à la Gare du Nord. Celui-ci est complètement rempli et, ô miracle, je réussi à entrer dans le wagon! A chaque station, il entre plus de clients qu’il n’en sort…on ne peut plus bouger…à côté de moi, il y un monsieur avec une baguette de pain sous le bras ; elle est noircie aux deux bouts…enfin, j’arrive à destination en moins de 15 minutes. A 18h30, accompagné d’un confrère du bureau, je prends le train « TEE » ( Trans-Europe Express ) pour Bruxelles. Nous arrivons à la Gare du Midi, à 20h45 après avoir parcouru 325 kilomètres. Nous avons soupé à bord et, malgré la vitesse moyenne de 150 km à l’heure, ni la soupe ni le café n’ont été renversés sur la table!!!…

Samedi, le 16 février 1980, mon confrère me fait visiter la ville de Bruxelles; nous nous déplaçons dans les autobus de la STIB – Société de transport intercommunale de Bruxelles, bleu avec une ceinture crème, de marque « Jonkheere » fabriqués en Belgique. En plus, nous avons l’occasion de prendre un tramway articulé en trois sections. Quelle étrange sensation de s’assoir sur le dernier siège du troisième tramway et de regarder tourner la première section dans les courbes à angle-droit !… Les tramways sont crème avec une ceinture bleue.

Pour l’interurbain, tous les autobus appartiennent au gouvernement; ce sont aussi des « Jonkheere » mais, orange avec une ceinture crème. Comme mon confrère s’appelle Jonkheere, je ne manque pas de le taquiner sur sa « fortune » !.

Le soir, en revenant à Paris, il n’y a que quelques personnes dans le wagon que j’occupe, et, je suis seul dans mon compartiment ; peu avant l’arrivée, un contrôleur mesurant environ 5 pieds, me demande mon ticket pour validation, et, décide qu’il y manque un « surclassement », ( une surcharge pour le « T.E.E »). Je devrai donc l’accompagner au bureau de la gare et payer une amende en plus de la surcharge. Je me lève et lui met la main sur une épaule en lui disant que ce n’est pas mon problème si le vendeur de la Gare du Nord a mal fait son travail. J’ajoute que s’il insiste, je porterai plainte aux gendarmes…étrange, il a disparu et je ne l’ai pas revu en arrivant à la gare.

Je reviens à l’hôtel à bord du 8206, un Saviem du parcours 42 – Balard-Lecourbe qui me laisse à la Place de la Concorde.

Dimanche matin, le 17 février 1980, je visite Paris à pied et je vois une vingtaine de « cars de touristes » stationnés à l’arrière de Notre-Dame; ils viennent d’une dizaine de pays différents, et, sont
lettrés dans autant de langue. Presque tous des modèles différents. Après information, j’apprends que le mot allemand qui apparaît le plus souvent, « Reizen », signifie voyage…j’aurais dû y penser !

Vers 11h00, mes confrères et moi quittons le bureau dans deux automobiles pour aller visiter le château de Fontainebleau, à environ 75 kilomètres au sud-est de Paris. Aucun autobus en vue, ni sur la route ni à Fontainebleau. Pour le retour, à 17h00, nous roulons à la vitesse d’environ 25 km à l’heure dû à la rentrée de la fin-de-semaine ; nous arrivons à Paris vers 20h00, soit 3 heures pour parcourir 75 km. Heureusement, que j’avais le confort d’une Citroen – DS.

Mardi, le 19 février 1980, je prends le 7335, parcours 94 pour me rendre au bureau.

Jeudi, le 21 février 1980, je me rends à Montparnasse par le métro et revient par le parcours 94, avec le 7320.

Vendredi, le 22 février 1980, je me rends au bureau avec le 7330, parcours 94 et reviens avec le 7324, même parcours.

Samedi, le 24 février 1980, je prends un taxi à 5h00 pour me rendre à l’hôtel Concorde ; de cet endroit, je prends un car Neoplan en route pour l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaule. Un avion d’Air France m’emmène à Londres en quittant à 7h45 et, à cause du décalage horaire d’une heure, nous arrivons à 7h30. C’est dans un autobus blanc à deux étages, lettré « BOAC » ( compagnie
d’avions anglaise ) que je me rends au centre-ville. Il roule à gauche, dépasse par la droite sur l’autoroute et prend les « round-about » ( ronds-points) par la gauche… quelle étrange sensation !!!

Dans l’après-midi, je décide de visiter la ville en utilisant un « Sight-Seeing »; il s’agit d’un coach à un étage de modèle anglais avec un moteur diésel sous le plancher qui produit beaucoup de vibrations. Comme les vitres ne sont pas teintées, il est facile de prendre des photos. Dans les rues, les autobus rouges à deux étages circulent à gauche, et, les clients attendent en file en sens contraire de chez-nous.

Dimanche matin, je reprends l’autobus blanc à deux étages pour retourner à l’aéroport prendre le « Lockead-1011 » d’Air Canada qui quitte à 12h30. Cet avion a un moteur situé sur le toit, à l’arrière, et, comme je suis à l’avant-dernière rangée, c’est un voyage plutôt désagréable. J’arrive à Mirabel à 14h30 à cause du décalage horaire de 6 heures. Il ne reste que 20 minutes pour « sauter » dans le F-28 de Québecair et me rendre à Québec.

Notes additionnelles =
à Paris, les parcours sont numérotés par dizaines selon leur point de départ;
exemple : Gare St-Lazare, parcours nos. 20,21,22,24,26,27,28 et 29.
Le terminus se situe dans le centre de la place en face de la gare, et, un petit bâtiment abrite une distributrice à ticket.
La majorité des parcours se terminent à 21h00.
La nuit, les parcours suivants prennent la relève : NA à NJ.
A l’extérieur des 20 arrondissements, les parcours sont numérotés à 3 chiffres.

A mon arrivée, le numéro d’autobus le plus élevé que j’ai vu était dans la série 8200 alors qu’à mon départ, c’était la série 8600; 400 nouveaux autobus en un mois ou changements dans l’assignation des autobus???

Une vingtaine d’autobus ont un « balcon » à l’arrière, soit les séries 7476 à 7484 et 7856 à 7869.

Les « Berliet » sont numérotés 2700, 2800, 4100, 4200, 4300, 4880, 4900 et 5000 et les « Saviem », 4600, 4800, 5400 à 8600.

Il y a une dizaine de garages d’autobus de la RATP dont un porte le nom de « Charlesbourg »…

De retour au Québec, je prends le Grand Express no. 003 pour aller à Montréal, le 7 mai 1980, et revient avec le 001.

Le 2 juin 1980, je reviens de Montréal à bord du 004.
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Le 25 mars 1981, c’est le Voyageur no T-1735, un MCI – MC-9 – 1979 qui me conduit à Montréal alors que je reviens avec le 004.
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Le 17 mars 1982, je vais à Montréal avec le 1444 – MCI – MC-8 – 1976, et, je reviens avec le 001.

Le 7 avril 1982, je prends le Fournier – 206, un GMC – PD-4106 – 1965 pour aller à Hébertville, dont le départ a lieu à 9h10 et l’arrivée à 11h45.
En cours de route, nous voyons une automobile, roulant en sens contraire, traverser la route devant nous et descendre dans la falaise, dans la neige profonde jusque sous les nombreux sapins. Le chauffeur décide d’arrêter et lui et moi, allons voir lorsque, au même moment, une jeune fille monte la côte en marchant péniblement dans la neige jusqu’à la taille. Nous la ramenons à Hébertville…elle l’a échappée belle!

Durant la journée, la tempête se lève et la visibilité devient très réduite; à la sortie du bureau, je me rends au dépanneur pour m’informer de la situation. Le commis me répond que l’autobus a quitté St-Félicien à l’heure et qu’il devrait arriver ici en retard d’une quinzaine de minutes selon un appel téléphonique reçu de Roberval.
Pendant l’attente, nous apprenons que la Sûreté du Québec vient d’interdire la traversée du Parc des Laurentides aux véhicules de promenade; seuls les camions et autobus sont autorisés à y circuler.
Lorsque le no. 808, un MCI- MC-8 – 1976, arrive, il ne reste que 3 sièges libres et nous sommes 3 clients; je m’assoie à côté de la toilette. L’autobus, arrivant 30 minutes en retard à Québec, fait manquer la correspondance de 21h00 pour Montréal, et, comme le prochain départ a lieu seulement à 22h30, les clients sont frustrés. Ils sont nombreux car, c’est la longue fin-de-semaine de Pâques.

En septembre 1982, le Directeur général, un confrère et moi perdons notre emploi suite à une décision politique.
Comme la crise économique atteint un sommet, les emplois disponibles sont très rares; après 3 mois de recherches à Québec, je décide de tenter ma chance à Montréal.
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Le 12 janvier 1983, je prends le 1302 – GMC – P8M-4905A – 1975 pour aller et le 1516 – Prévost – Prestige – 1977, pour le retour.
Le 19 janvier 1983, le 1514 – Prévost – Prestige – 1977 pour aller et le 1512 – Prévost – Prestige – 1977, pour le retour.
Le 26 janvier 1983, le 1431 – MCI – MC-8 – 1976 pour aller et le 1511 – Prévost – Prestige – 1977, pour le retour.
Le 2 février 1983, le 1449 – MCI – MC-8-1976 pour aller et le 1214 – GMC – P8M-4905A – 1974, pour le retour.
Le 9 février 1983, le 1105 – GMC – P8M-4905A – 1974 pour aller et le 1109 – GMC – P8M-4905A – 1974, pour le retour.
Le 16 février 1983, le 1512 – Prévost – Prestige – 1977 pour aller et le 1517 – Prévost – Prestige – 1977, pour le retour.
Le 2 mars 1983, le 1104 – GMC – P8M-4905A – 1974 pour aller et le 1308 – GMC – P8M-4905A – 1975, pour le retour.

Ces recherches n’ayant donné aucun résultat positif, je termine ma série de voyages à Montréal, et, trouve un emploi sur la rive-sud de Québec.
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En septembre 1984, je trouve un meilleur emploi sur la rive-sud de Montréal, et, je déménage en juin 1985.

Une fois par mois, je vais à Montréal, par affaires, en prenant la STRSM, parcours 98, à partir de Mont-St-Hilaire.
Le service est extrêmement mauvais, les autobus New-Look sont sales et en mauvais état, et, des départs sont souvent annulés.
Des grèves surprises des chauffeurs et des grèves de zèle des mécaniciens rendent la situation extrêmement précaire.
Puis, à compter de 1988, la STRSM doit faire reconstruire plus de la moitié de sa flotte, ce qui l’oblige à louer des autocars de la compagnie Connaisseur pas du tout appropriés pour le service de banlieue.
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Finalement, en juin 1991, le CITVR perd patience et remplace la STRSM par la nouvelle compagnie Limocar de la Vallée qui met en service des MCI – Classic – 1991 équipés de sièges rembourrés, et, des New-Look usagés venant de New-York pour l’heure d’affluence.
Le parcours 98 devient le 200 et le parcours express jusqu’au centre-ville, via le Pont Champlain, le 300.
Depuis le 24 juin 1991, nous avons enfin un service de très haute qualité.

En septembre 1991, je vais faire une exposition de mes archives au Congrès Annuel de l’APAQ, à Rimouski.
Je prends un MCI – MC-9 – 1981 de la nouvelle compagnie Orléans Express à partir de Québec, et, je reviens à bord d’un Prévost LeMirage – 1991, démonstrateur qui avait été exposé au Congrès.
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En juin 1995, mon employeur me transfère à Trois-Rivières ; je demeure sur l’avenue Marion sur laquelle circulent les autobus 8006 et 9205 de la CITF, du parcours 11 – Demontigny .

Puis, en décembre 1995, je reviens à Québec pour occuper divers emplois.
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Pour aller travailler au centre-ville, j’utilise les autobus de la STCUQ du parcours 230, des New-Look et des Classic.
En juillet 1996, je prends le 665 – Prévost – H3-40 – 1994 pour me rendre à Jonquière, par affaires, et reviens le lendemain avec le 667 – Prévost – H3-41 – 1996.
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A partir de février 1997, allant travailler en dehors de Québec, je n’utilise plus les autobus.
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Puis, de mars 2000 à décembre 2006, je suis représentant sur la route, ce qui me fait voyager à la grandeur du Québec, et, me donne l’occasion d’observer les autobus partout.

Retraité depuis le 31 décembre 2006, j’utilise occasionnellement les autobus du RTC pour aller au centre-ville afin d’éviter les frais de stationnement et la congestion de l’heure d’affluence.
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Le 14 août 2013, je suis invité à l’enregistrement d’une émission de radio à la « Première Chaîne » de Radio-Canada, à Montréal.
Il s’agit de l’émission « Les chemins de travers » diffusée le dimanche soir, de 20h00 à 23h00, et, animée par Serge Bouchard, historien reconnu et un passionné d’autobus depuis le début de son cours secondaire; il demeurait à Pointe-aux-Trembles (Montréal) et il a mon âge.
Nous avons donc voyagé dans les mêmes autobus à la même époque.
Il a consulté mon livre à la bibliothèque de Radio-Canada et il l’a tellement aimé qu’il a décidé de rencontrer l’auteur à son émission.

J’assiste à la première heure dans le studio, et, je « jase » avec lui durant le 2è heure puis, il continue la 3è heure en parlant de l’avenir du transport collectif avec un spécialiste.

Je quitte Québec, à 8h30, le matin à bord d’un Prévost X3-45 aux couleurs du « CEGEP de St-Hyacinthe » (Orléans -6102) et je réussi à m’asseoir à côté de la porte.
J’aime la randonnée avec une bonne portée même s’il  pleut jusqu’à St-Hyacinthe.
Pour la visibilité, la fenêtre de côté étant recouverte d’une « moustiquaire » (publicité plus ou moins transparente), je dois me contenter du pare-brise pour voir le paysage!!!
Les personnes qui ont vendu l’idée de cette publicité et les personnes qui l’ont acceptée ne voyagent pas en autobus, c’est évident!
Nous arrivons à 11h45, 15 minutes en retard à cause de l’énorme chantier à l’entrée du tunnel.
Je marche jusqu’à Radio-Canada (15 minutes), ce qui me permet de prendre l’air et d’activer les jambes.
Après une brève rencontre avec les personnes concernées, je dîne à la cafétéria avec un repas complet pour la modique somme de 6.70$;
A 15h30, je quitte le studio et marche jusqu’à la « Bibliothèque Nationale » située en face de la « Gare d’autocar de Montréal »; c’est la première fois que je regrette de ne plus demeurer à Montréal…j’ai vu seulement la section « Histoire du Québec » et elle est plus grande que toute la bibliothèque  de Charlesbourg !!!
Je jette un coup-d’oeil sur des albums de photos datant de la fin du 19è siècle jusqu’à la fin du 20è…je n’ai jamais vu autant de trésors dans un même endroit !

Ensuite, je traverse la rue en évitant les cyclistes pour me rendre à la nouvelle gare tout en regardant avec tristesse l’ancien « Terminus de l’Est / East End Terminal » laissé à l’abandon.

Après avoir pris une soupe, une brioche et un café qui me coûtent 9.20$  (il faut avoir les moyens pour voyager!!!) , je suis impressionné par l’apparence de la nouvelle gare; elle est vaste et bien éclairée et les autocars en attente stationnent face aux quais d’embarquement. La montée à bord a lieu sans sortir dehors (quel confort).
Je suis revenu avec un Prévost H3-45 (Orléans -6251) avec des avantages que le X3-45 n’a pas et sans augmentation de tarif!!!
Etant assis beaucoup plus haut, le pare-brise est aussi plus haut avec une plus grande visibilité, et, comme je réussi encore à m’asseoir à côté de la porte, j’ai la fenêtre de côté qui descend jusqu’au plancher.
Comme boni, la fenêtre n’est pas recouverte d’un moustiquaire!

Nous quittons à 17h00 et arrivons au pont Jacques-Cartier à 17h45…vive la circulation à Montréal!
La randonnée du H3-45 est supérieure au X3-45 et la grande visibilité donne l’impression d’avoir plus d’espace.
Nous arrivons à Québec à 20h45, 30 minutes en retard à cause de la circulation à Montréal.

J’ai passé une excellente journée et fait un bon voyage.
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Activités reliées aux autobus =

Employé de la Cie de Transport Provincial, d’avril 1961 à février 1964.
Membre de la Bus History Association, depuis septembre 1963, et,
assistant secrétaire-trésorier de 1974 à 1977.
Employé des Autobus Lemelin Ltée, août 1964.
Membre de la Motor Bus Society, de 1965 à 1996.
Correspondant du magazine Transit Canada, de 1972 à 1978.
Employé temporaire de l’APAQ en 1996.
Membre de la Canadian Transit Heritage Foundation, depuis 2002.
Fondateur et membre de la Société d’histoire d’autobus du Québec, depuis
2007.
Elu Président de la Société d’histoire d’autobus du Québec – Quebec Bus History Society, le 1er octobre 2012
lors de la première assemblée du C.A.

En mai 2010, conduite d’un autobus GM, modèle New-Look – 1982, sur un très grand terrain privé à Trois-Rivières.
En mars 2011, conduite d’un autobus Blue Bird, modèle TC-2000 – 1993, dans les rues du quartier de Ste-Foy.
En octobre 2011, autre conduite du Blue Bird mais, dans les rues du quartier St-Emile.
En novembre 2011 et en mai 2013, conduite d’un autocar Prévost, modèle LeMirage – 1985, sur le grand stationnement de l’ancien Zoo de Québec.
Ces autobus appartiennent à des amis.

Activités =

Organisation des Congrès annuels de la Bus History Association à Québec, en 1970, 1996 et 2015.

Collaboration à l’exposition tenue du 12 mai au 4 septembre 1988 au « Centre d’initiation à l’histoire de la Ville de Québec » situé aux « Voutes du Palais ».

Collaboration à la recherche de vieux autobus pour les séries télévisées « René Lévesque » et Montréal, ville ouverte », entre 1991 et 1995.

Interview de 15 minutes, avec l’ami Jacques Matte, à Radio Galilée, Québec, le 18 juillet 2003.

Collaboration pour le calendrier souvenir du 100è anniversaire du syndicat des chauffeurs d’autobus du RTC, Québec, en 2006.

Collaboration pour le livre sur les tramways de Québec, en 2008.

Collaboration pour le livre sur les tramways de Lévis, en 2009-2010.

Participation d’une heure à l’émission de radio de la « Première Chaîne » de Radio-Canada « Les chemins de travers », le 14 août 2013, diffusée dimanche soir, le 18 août 2013, de 20h00 à 23h00.

Conférence sur les 150 ans du transport collectif de Québec à la Société d’histoire de Charlesbourg, le 25 mars 2015.

Conférence sur les 150 ans du transport collectif de Québec à la Société d’histoire de Limoilou, le 30 mars 2015.

En collaboration avec la Société d’histoire de Charlesbourg, participation au « Salon des sociétés d’histoire de Québec », le 7 novembre 2015.

Conférence sur les 150 ans du transport collectif de Québec à la Société d’histoire de Sainte-Foy, le 17 novembre 2015.

Conférence sur les 150 ans du transport collectif de Québec à la Société d’histoire de Cap-Rouge, le 18 février 2016.

Conférence « Visite de Québec en tramways » à la Société d’histoire de Charlesbourg, le 30 mars 2016.

Conférence sur les 100 ans des « Autobus A Drolet Ltée » à la Société d’histoire de l’Ancienne-Lorette, le 26 avril 2016.

Conférence « Se déplacer en autobus à Québec avant la municipalisation » à la Société d’histoire de Charlesbourg, lors du brunch de la rentrée, le 10 septembre 2016.

Conférence sur l’histoire du transport collectif de Beauport, à la bibliothèque Etienne-Parent de Beauport, le 15 juin 2017, suite à l’invitation de la Société d’art et d’histoire de Beauport.

Le 17 décembre 2017, entrevue de 28.26 minutes au « WKND »-102,1 avec Nathalie Normandeau concernant l’histoire des tramways de Québec dont j’ai donné une conférence à la bibliothèque Paul-Aimé-Paiement de Charlesbourg, le 31 janvier 2018, et, qui a attiré 130 personnes alors que 30 autres ont été refusées faute de place établissant un record de 35 ans pour la Société d’histoire de Charlesbourg.

Le 9 janvier 2018, belle publicité avec photo de ma conférence parue dans la page de Pierre Gingras du Journal de Québec.

Le 17 janvier 2018, entrevue de 14 minutes au « FM-93 » avec Myriam Ségal sur le même sujet se terminant par une belle publicité de la conférence du 29 janvier.

Le 22 janvier 2018, belle publicité avec photo de ma conférence parue dans le journal Charlesbourg Express

Le 29 janvier 2018, autre belle publicité avec photo de ma conférence parue dans la page de Pierre Gingras du Journal de Québec.

Le 5 février 2018, entrevue de 18.01 minutes au « FM93 » avec Ève-Marie Lortie concernant l’histoire des tramways de Québec ainsi que du succès obtenu par ma conférence.

Le 25 avril 2018, conférence sur le transport collectif de Sillery à la Société d’histoire de Sillery lors de leur assemblée annuelle.
Le 15 mai 2018, conférence sur l’histoire des anciens tramways de Québec de 1897 à 1948 à la Société d’histoire de Sainte-Foy.
Publications =

Revue « Metropolitan Transportation », U.S.A., en octobre 1961 et mai 1962.
Revue « BHA Coach News », vol. 1, no 2, U.S.A. en 1963.
Journal « Le Soleil », Québec, le 30 avril 1964.
Journal « L’Action Catholique », Québec, le 19 février 1965.
Revue « Bus Ride », vol. 1, no 2, U.S.A., en mars 1965.
Revue « Bus Ride », vol. 3, no 6, U.S.A., en septembre 1967.
Revue « Bus Ride » pour une collaboration générale, de mars 1965 jusqu’en juin 1970.
Revue « Transport Commercial », Montréal, en mai 1965.
Journal « Le Soleil », Québec, le 24 avril 1971.
Revue « Bus Industry », U.S.A. pour un article sur les Autobus Deshaies, septembre 1975.
Revue « Bus Industry », U.S.A. pour un article sur les Autobus Drolet, en décembre 1976.
Revue « L’autobus/l’Autocar » de L’APAQ, Québec, de 1983 à 1988.
Revue « L’Echo du Transport », Montréal, en septembre 1985.
Revue « Motor Coach Age », U.S.A. – Québec – I, en mars 1986.
Tourisme, Loisirs & Patrimoine du Nouveau-Brunswick pour prêts de photos, en avril 1987.
Revue « Motor Coach Age », U.S.A. – Québec – II, en décembre 1987.
« Almanach du Peuple », Montréal, 1988.
Journal L’Oeil Régional », Beloeil, le 20 novembre 1988.
Revue « Motor Coach Age », U.S.A. – Québec III, en décembre 1990.
Revue souvenir du 65è anniversaire de l’APAQ en 1991.
Capsules historiques pour la revue de l’APAQ, de 1993 à 1996.
Revue souvenir du 70è anniversaire de l’APAQ en 1996.
Revue souvenir du 75è anniversaire de l’APAQ en 2001.
Livre « Prevost Buses – 1924 à 2002 » pour l’historique des propriétaires d’autobus du Québec.
Livre « Petite histoire du transport en commun de Sherbrooke », en 2003 pour collaboration.
Livre « Histoire de l’autobus par l’image, 1 – Les Trajets touristiques », publié par « Les Editions GID », le 3 décembre 2012.
Décembre 2016 – Calendrier – 2017 – 150 ans du transport collectif de Québec comprenant 25 photos avec notes historiques.
Décembre 2017 – Calendrier – 2018 – 150 ans du transport collectif de Québec comprenant 26 photos avec notes historiques.
Décembre 2018 – Calendrier – 2019 – 150 ans du transport collectif de Québec comprenant 26 photos avec notes historiques.

Expositions =

Inauguration des nouveaux bureaux de l’APAQ, à Québec, en septembre 1983.
Assemblée annuelle de l’APAQ à Rimouski, en septembre 1984.
60è Assemblée annuelle de l’APAQ à Ste-Adèle, en septembre 1986.
Assemblée annuelle de l’APAQ à St-Hyacinthe, en septembre 1989.
65è Assemblée annuelle de L’APAQ à Rimouski, en septembre 1991.
Assemblée annuelle de l’APAQ à Ste-Adèle, en septembre 1992.
 » Canadian Bus EXpo » à Montréal, en avril 1994.
70è Assemblée annuelle de l’APAQ à Québec, en novembre 1996.
Assemblée annuelle de la Canadian Urban Transit Association à Québec, en
novembre 2007.
Assemblée annuelle de l’APAQ à Québec, en mars 2009.
Tournoi de golf annuel de l’APAQ à Ste-Brigitte-de-Laval, en juillet 2010.
Assemblée annuelle de l’ATUQ, à Lévis, en novembre 2011.
Colloque des chauffeurs de l’APAQ au CFTC, à Québec, en avril 2013.
Colloque des chauffeurs de l’APAQ au CFTC, à Québec, en avril 2014.
Journées Portes ouvertes au Centre Métrobus du RTC, à Québec, les 23 et 24 mai 2015.

Voilà, si ma mémoire n’a rien oublié, ceci termine la publication de mes mémoires…